Me suis allongée sur le ventre

Pour me proposer à son massage,

Ou plutôt à ses caresses.

Mon dos était déjà nu pour ses mains.

Comme chaque fois,

Il fit glisser mon leggings en bas des hanches,

Découvrant alors le noeud qui le maintenait attaché

C’est joli me dit il.

Il ne pouvait lui échapper que pour seul dessous,

Une fine bande de tissus se posait entre mes fesses.

Il ne restait pas grand chose pour couvrir mon corps,

Et il avait tout loisir de me contempler,

Me savourer du regard.

Je lui ai offert ce plaisir la, de me dévorer des yeux

Pendant que ses mains courraient sur moi,

Avec une si grande délicatesse,

Jusqu’à se poser sur mes fesses.

Toi, pauvre soumis, tu attendais dans l ‘ignorance

La queue en cage, crevant de jalousie.

Lui il me regarde, m’admire, me touche

Je me fais désirable pour lui,

Et pour que tu subisses cette humiliation

De subir cet affront la,

Tout seul t o r t u r é par la jalousie.